Les bénéfices associés à la pratique d’une activité physique se traduisent par une meilleure endurance, une augmentation des apports en oxygène et une diminution de la pression artérielle, de lafatigue et de l’essoufflement. Il convient de respecter les plages de travail et la fréquence cardiaque définies par le médecin.
Traitement à part entière de la broncho-pneumopathie chronique obstructive, l’activité physique réduit considérablement l’essoufflement, améliore les capacités de déambulation et la qualité de vie. Chez les sujets asthmatiques, l’activité physique d’intensité modérée favorise un meilleur contrôle ventilatoire, permet de réduire les crises et d’augmenter la confiance en soi. L’échauffement doit être toujours progressif.
Associée à une modification de l’alimentation, l’activité physique augmente la consommation de glucose par les tissus (en particulier les muscles) et donc baisse la glycémie, chez les sujets non-diabétiques, pré-diabétiques et diabétiques. Chez les diabétiques, elle diminue le risque de complications liées au diabète.Chez les sujets en bonne santé comme chez les diabétiques, l’activité physique induit aussi une baisse du cholestérol, diminue la graisse abdominale (tour de taille) mais ne fait pas maigrir (seule une nutrition hypocalorique permet une perte de poids). L’activité physique aide avec la diététique à maintenir la perte de poids.
L’activité physique adaptée a des effets bénéfiques sur la condition physique, la qualité de vie, l’anxiété et l’estime de soi. Elle améliore la survie après cancer, diminue le risque de récidive et réduit le niveau de fatigue d’environ 30%.
Préserver le plus longtemps possible les capacités fonctionnelles constitue un des objectifs majeurs de la pratique des activités physiques chez les personnes atteintes d’Alzheimer en travaillant souplesse, force et équilibre. Cette pratique peut aider la personne à redécouvrir son schéma corporel, à reprendre confiance et lui restituer son estime de soi. De surcroît, elle favorise l’amélioration de la mémoire et diminue la dépression. L’activité physique, pour les personnes souffrant de la maladie de Parkinson, leur permet de conserver mobilité articulaire et coordination afin d’améliorer la démarche et l’équilibre. L’entraînement des gestes de la vie quotidienne limite le risque de dépendance. Pour les personnes atteintes de sclérose en plaques, la pratique des activités physiques entraîne un reconditionnement physique en augmentant le niveau d’endurance, la force musculaire et l’équilibre.
En présence d’arthrose, il est important de conserver mobilité et tonus musculaire en sollicitant régulièrement ses articulations, ce qui induit une diminution des douleurs et inflammations articulaires et augmente la mobilité des articulations concernées. L’orientation vers la marche et/ou les activités physiques et sportives en décharge (natation, aviron,…) est fortement recommandée pour les personnes présentant une surcharge pondérale. En cas d’ostéoporose, il convient de favoriser les exercices en charge (à poids de corps), contre résistance et favorisant la posture ainsi que le travail de l’équilibre. Ces activités stimulent la synthèse osseuse, augmentent la résistance de l'os aux contraintes et rendent donc l'os sollicité “plus solide”.
2 séances d’essai sans engagement comprenant :
- une séance de prise de contact et d’évaluation qui permet de fixer des objectifs individualisés.
- une séance d’activité physique d’essai.
Coût des deux séances : 60 €
Un programme d’entraînement sous contrat comprenant :
15 séances au tarif de 40€ la séance.
(20 € après déduction fiscale)
Coût du programme: 600 €
Le paiement peut se faire par chèque, virement bancaire ou Chèque Emploi Service Universel (CESU).